Bien qu'en France la sophrologie soit une profession « non réglementée », le métier de sophrologue s’oriente vers une reconnaissance professionnelle toujours plus grande sous la
houlette du syndicat des sophrologues professionnels (S.P.S). C’est ainsi que le Pôle Emploi national a reconnu cette profession en le dotant d’un code ROME, que des
mutuelles proposent à leurs adhérents de rembourser des séances de
sophrologie jusqu’à un certain montant annuel et que le « Certificat de sophrologue » délivré par la
Fédération des Ecoles Professionnelles (F.E.P.S) est officiellement reconnu par l’Etat au niveau III depuis le 27 août 2013.
Le sophrologue est soumis à une éthique et à une déontologie d'autant plus s'il est membre du S.P.S. De plus, il est tenu au respect absolu du secret professionnel envers ses clients de manière à
assurer la protection du cadre d'exercice professionnel.
Le sophrologue qui n'est pas médecin s'inscrit dans le champ éducatif pédagogique et non thérapeutique.
Le sophrologue qui n'est pas un psychologue, psychanalyste, psychothérapeute... n'interprète pas les ressentis, les vécus ou les évènements passés. Il privilégie un travail sur la réalité dans le
présent et laisse la liberté à chacun de trouver les actions qui lui conviennent.
│►Sur le métier de sophrologue
○ Syndicat des Sophrologues Professionnels
○ Fédération des Ecoles Professionnelles
│
│►Sur la déontologie du sophrologue